Site de Léonce BOURLIAGUET

 

« Observer un animal d’un œil ami est une des plus grandes joies que puisse s’offrir un homme intelligent. Les bêtes sont naïves et rusées, douces et féroces, sages et folles, sottes et spirituelles, élégantes et ridicules, et à les voir s’aimer, se haïr, se battre, se tromper mutuellement, dormir, bâiller, réfléchir, se gratter et éternuer, on reconnaît qu’elles et nous sommes faits de la même pâte » (Quatre du cours moyen).

 

Le bestiaire de Léonce Bourliaguet met parfois en scène des « bestions » à qui pareil honneur a rarement été fait : un lombric, une sangsue, un dytique… Mais c’est aux rats et souris qu’il consacrera le plus de pages, suivis de près par les oiseaux, les grenouilles, les insectes.

 

 

« Pour Petit-Œuf, les bêtes étaient de petites âmes. » (Petit-Œuf)

 

Le petit rat Justin

- Le doyen Tranchepaille

- Le rat examinateur

- Les crapauds forgerons

- Trottassou en son melon